Environnement

Malgré les apparences, la Tamise s'avère polluée par les rejets des eaux usées, mais aussi par des déchets plastiques parfois de très petite taille. En plus de représenter un risque sanitaire pour l'Homme, ces pollutions impactent la faune et la flore du cours d'eau et de la mer du Nord où se jette la rivière. © David, Iliff, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Malgré les apparences, la Tamise s'avère polluée par les rejets des eaux usées, mais aussi par des déchets plastiques parfois de très petite taille. En plus de représenter un risque sanitaire pour l'Homme, ces pollutions impactent la faune et la flore du cours d'eau et de la mer du Nord où se jette la rivière. © David, Iliff, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Des chercheurs britanniques ont cartographié, grâce à un modèle, la répartition de la résistance aux antibiotiques dans les rivières. Selon eux, elle apparaîtrait facilement dans les cours d'eau et particulièrement près des stations d'épuration. D'autres facteurs, comme le type de paysage et les précipitations, impacteraient leur distribution. Ce modèle pourrait donc servir dans la gestion de ce problème sanitaire et environnemental. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/02/2015).

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Certaines guêpes arrivent à distinguer les membres ne faisant pas partie de leur espèce. D'autres vont plus loin et identifient les intrus qui se seraient trompés de nid. © Arturo, Flickr CC by nc sa 2.0
Certaines guêpes arrivent à distinguer les membres ne faisant pas partie de leur espèce. D'autres vont plus loin et identifient les intrus qui se seraient trompés de nid. © Arturo, Flickr CC by nc sa 2.0

S'ils sont capables de distinguer les ennemis des membres de leur nid à leur odeur, des guêpes d'Asie du Sud-Est peuvent également recourir à leur vue. Suivant les situations, ils privilégient un sens sur l'autre pour repousser au mieux les indésirables. D'extraordinaires capacités sensorielles et comportementales pour un animal pourvu d'un si petit cerveau. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/02/2015).

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Elysia chlorotica vit en eaux peu profondes sur le littoral états-unien, entre la Nouvelle-Écosse et la Floride. Il mesure de 2 à 3 cm en moyenne. Sa morphologie lui permet de déployer plus ou moins ses flancs en fonction du rayonnement solaire. Son tube digestif ramifié rappelle les nervures d'une feuille. © Patrick Krug
Elysia chlorotica vit en eaux peu profondes sur le littoral états-unien, entre la Nouvelle-Écosse et la Floride. Il mesure de 2 à 3 cm en moyenne. Sa morphologie lui permet de déployer plus ou moins ses flancs en fonction du rayonnement solaire. Son tube digestif ramifié rappelle les nervures d'une feuille. © Patrick Krug

L'élysie émeraude peut survivre des mois sans se nourrir. Les scientifiques savent désormais comment : le mollusque marin fabrique sa propre nourriture grâce à la photosynthèse. Telle une plante, il incorpore dans ses cellules des chloroplastes et certains gènes d'une algue. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (06/02/2015).

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L'orang-outang, dont le nom signifie « homme de la forêt » en malais, se nourrit la plupart du temps de fruits, de jeunes pousses, d'écorces, de petits vertébrés, d'œufs d'oiseaux et d'insectes. Chaque jour, il construit un nid dans la canopée des arbres pour y passer la nuit. © Suneko, Wikimedia Commons, CC by sa 3.0
L'orang-outang, dont le nom signifie « homme de la forêt » en malais, se nourrit la plupart du temps de fruits, de jeunes pousses, d'écorces, de petits vertébrés, d'œufs d'oiseaux et d'insectes. Chaque jour, il construit un nid dans la canopée des arbres pour y passer la nuit. © Suneko, Wikimedia Commons, CC by sa 3.0

Les célèbres singes roux de Bornéo, jusqu'à présent arboricoles, se déplaceraient depuis peu au sol, allant jusqu'à emprunter les chemins des grumiers qui transportent les troncs. Cette rapide adaptation à leur environnement dégradé par l'Homme pourrait bien contribuer à leur survie. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (05/02/2015).

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Le phoque de Weddell, de la famille des pinnipèdes, peut passer une heure à chasser des poissons à 600 m de profondeur. © Changehali, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0
Le phoque de Weddell, de la famille des pinnipèdes, peut passer une heure à chasser des poissons à 600 m de profondeur. © Changehali, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

Pour les cétacés et les pinnipèdes, chasser leurs proies en apnée à de grandes profondeurs représente un défi physiologique et physique extrême. Ils seraient même victimes de troubles du rythme du cœur. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (25/01/2015).

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Les zèbres sont des animaux herbivores vivant principalement en Afrique centrale et australe. Leurs rayures troubleraient la vision de leurs prédateurs (lions, hyènes, lycaons, etc.), les aideraient à se camoufler mais aussi à réguler leur température corporelle. © Key45, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0
Les zèbres sont des animaux herbivores vivant principalement en Afrique centrale et australe. Leurs rayures troubleraient la vision de leurs prédateurs (lions, hyènes, lycaons, etc.), les aideraient à se camoufler mais aussi à réguler leur température corporelle. © Key45, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0

Les spécialistes pensaient que les zébrures de ces équidés aidaient au camouflage ou à déstabiliser les carnivores. Une nouvelle étude rapporte qu'elles seraient thermorégulatrices et permettraient ainsi aux zèbres de mieux supporter les fortes chaleurs de la savane africaine. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/01/2015).

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Argentina anserina, aussi connue comme potentille ansérine a été initialement classée dans le genre Potentilla, puis déplacée dans Argentina dans les années 1990. Ses feuilles couvertes de fins poils argentés donnent son nom à l'espèce. © Kristian Peters Fabelfroh, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Argentina anserina, aussi connue comme potentille ansérine a été initialement classée dans le genre Potentilla, puis déplacée dans Argentina dans les années 1990. Ses feuilles couvertes de fins poils argentés donnent son nom à l'espèce. © Kristian Peters Fabelfroh, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

La pigmentation d'une espèce de plante diffère suivant la localisation de ses populations entre l'équateur et les pôles. En cause, la part variable d'ultraviolets qui se réfléchissent sur ses pétales. Une découverte qui pourrait élargir au monde végétal un processus naturel jusque-là réservé aux animaux et enrichir alors la liste des indicateurs du changement climatique de la Planète. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (17/01/2015).

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Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. © Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0
Les lézards mâles, comme cet anole vert (Anolis carolinensis), possèdent un organe copulateur tubulaire finalisé par deux hémipénis symétriques d'où s'écoule la semence. © Cowenby, Wikimedia, CC by-sa 3.0

Les chercheurs ont déjà beaucoup étudié les anoles, ces lézards vivant en Amérique et dans les Caraïbes. Ils en connaissent davantage sur leurs habitats, leurs relations avec d'autres espèces ou encore leur morphologie. Une nouvelle découverte surprenante vient pourtant d'être faite. Elle révèle que l'appareil reproducteur masculin de cet animal évolue beaucoup plus rapidement que le reste de son anatomie. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (19/01/2015).

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Découvert en 1996, le genre Limnonectes, endémique du Sulawesi, a divergé en plusieurs espèces qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. Ces grenouilles pèsent entre 2 et 900 g. Seules 4 des 25 espèces estimées sont réellement connues. Ici, un adulte et deux têtards (cercle jaune). © Djoko T. Iskandar, Ben J. Evans, Jimmy A. McGuire, Wikimedia, CC by-sa 4.0
Découvert en 1996, le genre Limnonectes, endémique du Sulawesi, a divergé en plusieurs espèces qui se sont adaptées à différents habitats et régimes alimentaires. Ces grenouilles pèsent entre 2 et 900 g. Seules 4 des 25 espèces estimées sont réellement connues. Ici, un adulte et deux têtards (cercle jaune). © Djoko T. Iskandar, Ben J. Evans, Jimmy A. McGuire, Wikimedia, CC by-sa 4.0

Un étonnant genre de batracien s'est diversifié sur l'île des Célèbes, en Indonésie, haut lieu de la biodiversité. À la différence de la plupart de ses congénères, cette espèce ne pond pas des ovules ou des œufs fécondés, mais des larves à la métamorphose déjà bien avancée. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/01/2015).

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Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

La particularité de certains gènes des baleines boréales pourrait expliquer l’exceptionnelle longévité de ces mammifères marins. Cette découverte permet aussi de mieux cerner leur résistance naturelle aux maladies liées au vieillissement et au cancer. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (11/01/2015).

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