Presse

Patte avant d'un ours brun (Ursus arctos). Ce mammifère de 700 kg est capable de se redresser sur ses pattes. Cela pourrait expliquer pourquoi ses empreintes et ses apparitions ont alimenté le mythe du yéti. © Jim Chapman, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0
Patte avant d'un ours brun (Ursus arctos). Ce mammifère de 700 kg est capable de se redresser sur ses pattes. Cela pourrait expliquer pourquoi ses empreintes et ses apparitions ont alimenté le mythe du yéti. © Jim Chapman, Wikimedia Commons, CC by-sa 2.0

Le mythe du yéti a la vie dure. Selon plusieurs équipes scientifiques qui travaillent sur le sujet, l'animal légendaire serait en fait un ours. Pour autant, la question de l’exacte espèce d'ours continue de faire débat, notamment depuis la publication d'une nouvelle étude scientifique. Ours hybride, ours brun ou espèce d'ours inconnue : les avis restent partagés. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (18/03/2015).

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La Pointe Barrow ou Nuvuk est une péninsule de la côte arctique dans l’état de l’Alaska, à 14 km au nord-est de la localité de Barrow (vue aérienne). C’est le point le plus septentrional de l’Alaska et des États-Unis. © Wikimedia Commons, cc by sa 2.5
La Pointe Barrow ou Nuvuk est une péninsule de la côte arctique dans l’état de l’Alaska, à 14 km au nord-est de la localité de Barrow (vue aérienne). C’est le point le plus septentrional de l’Alaska et des États-Unis. © Wikimedia Commons, cc by sa 2.5

Dans la toundra arctique, en Alaska, les plans d’eau perdent en superficie et tendent à disparaître. Un phénomène qui serait imputable au réchauffement climatique, estiment les scientifiques, et qui pourrait avoir partiellement des conséquences sur la biodiversité animale. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (17/03/2015).

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Espèce de nos jours considérée en danger, le manchot antipode ou manchot à œil jaune (Megadyptes antipodes) vit en moyenne 23 ans. Il est carnivore et aime vivre en couple plutôt qu’en colonie. © Zoharby, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Espèce de nos jours considérée en danger, le manchot antipode ou manchot à œil jaune (Megadyptes antipodes) vit en moyenne 23 ans. Il est carnivore et aime vivre en couple plutôt qu’en colonie. © Zoharby, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Chassée à outrance à partir du XIIIe siècle, peu après l’arrivée des premiers Hommes, une espèce de manchot native de Nouvelle-Zélande a disparu. Un autre manchot originaire d’îles subantarctiques l’aurait remplacée en un temps record. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (14/03/2015).

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Le réchauffement climatique serait à l'origine de l'accentuation des sécheresses dans les régions subtropicales. L'Australie est notamment concernée. En 2007, la région de Riverina, en Nouvelle-Galles du Sud, avaient ainsi souffert du manque d'eau. © Virtual Steve, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Le réchauffement climatique serait à l'origine de l'accentuation des sécheresses dans les régions subtropicales. L'Australie est notamment concernée. En 2007, la région de Riverina, en Nouvelle-Galles du Sud, avaient ainsi souffert du manque d'eau. © Virtual Steve, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Pour la première fois, une étude indique que l'augmentation du taux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère pourrait accentuer les épisodes de fortes sécheresses en zones tropicales et subtropicales. Le phénomène serait donc attribué au réchauffement climatique. En revanche, la hausse du gaz à effet de serre intensifierait les pluies à l'équateur. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (12/03/2015).

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Les récifs coralliens, visibles ici dans le lagon de l'île volcanique de Bora-Bora, en Polynésie française, sont composés de nombreuses espèces de coraux qui forment des écosystèmes marins complexes et parmi les plus riches en biodiversité. Importants puits de carbone, ils stockent du CO2 atmosphérique et diminuent ainsi le réchauffement climatique... tant qu'ils arrivent à lui survivre. © Samuel Etienne, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Les récifs coralliens, visibles ici dans le lagon de l'île volcanique de Bora-Bora, en Polynésie française, sont composés de nombreuses espèces de coraux qui forment des écosystèmes marins complexes et parmi les plus riches en biodiversité. Importants puits de carbone, ils stockent du CO2 atmosphérique et diminuent ainsi le réchauffement climatique... tant qu'ils arrivent à lui survivre. © Samuel Etienne, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Symbiodinium thermophilum, une espèce d'algues marines récemment découverte, permet aux coraux du golfe Persique de survivre dans des eaux parmi les plus chaudes de la Planète. Une capacité qui redonne espoir quant à l'avenir des récifs coralliens de cette partie du monde. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (06/03/2015).

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Le favipiravir, dont voici la formule chimique, est produit par Toyama Chemical, une filiale de Fujifilm Holdings. © Yikrazuul, Wikimedia Commons
Le favipiravir, dont voici la formule chimique, est produit par Toyama Chemical, une filiale de Fujifilm Holdings. © Yikrazuul, Wikimedia Commons

Pour la première fois testé sur l'Homme, un antiviral aux résultats mitigés pourrait, somme toute, être une piste thérapeutique contre le virus Ebola. S'il agit contre plusieurs virus de grippe, mais aussi ceux de la fièvre jaune et de la fièvre aphteuse, le favipiravir pourrait aussi être efficace contre le virus Ebola, indique un rapport scientifique publiant, lundi 2 mars, les résultats d'un premier essai clinique lancé fin 2014 en Guinée. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Jeuneafrique.com (05/03/2015).

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Un mâle d'araignée paon de l'espèce Maratus jactatus étend l'une de ses pattes pour séduire une femelle lors d'une danse d'accouplement. © Jürgen Otto
Un mâle d'araignée paon de l'espèce Maratus jactatus étend l'une de ses pattes pour séduire une femelle lors d'une danse d'accouplement. © Jürgen Otto

Elles n'étaient que trois, elles sont à présent cinq. Deux nouvelles araignées paons enrichissent un groupe d'arachnides qui s'avère bien plus diversifié qu'il n'y paraît. En plus de leur sublime apparence, les petites créatures produisent de spectaculaires danses de la séduction. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (04/03/2015).

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Les hippopotames (photo) ont eu pour cousin Epirigenys lokonensis, un mammifère 20 fois plus petit, de la taille d’un mouton d’environ 100 kg et qui devait passer également beaucoup de temps dans l’eau. © Cloudzilla, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0
Les hippopotames (photo) ont eu pour cousin Epirigenys lokonensis, un mammifère 20 fois plus petit, de la taille d’un mouton d’environ 100 kg et qui devait passer également beaucoup de temps dans l’eau. © Cloudzilla, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

Une espèce fossile d’ongulés découverte en Afrique se révèle être le chaînon manquant pour affilier les hippopotames et les cétacés. Successivement pensé proche des chevaux, des vaches ou encore des sangliers, l’animal emblématique des rivières africaines serait finalement plus proche du dauphin. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (01/03/2015).

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Une tempête de sable partie de la dépression du Bodélé (en haut à droite). Le lac Tchad est visible en bas à gauche. © Nasa, Wikimedia Commons, domaine public
Une tempête de sable partie de la dépression du Bodélé (en haut à droite). Le lac Tchad est visible en bas à gauche. © Nasa, Wikimedia Commons, domaine public

Malgré les milliers de kilomètres qui les séparent, le désert du Sahara et la forêt amazonienne sont liés : chaque année, un cycle naturel transporte du continent africain au continent sud-américain des millions de tonnes de sable. Un apport dont a besoin la plus grande forêt équatoriale du monde pour s'épanouir. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (27/02/2015).

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Après la dernière fonte glaciaire, la Méditerranée, moins salée, a attiré des poissons et bien d'autres espèces. En provenance de l'Atlantique, les grands dauphins ont rapidement suivi. © Quintanarroense82, Wikimedia Commons, domaine public
Après la dernière fonte glaciaire, la Méditerranée, moins salée, a attiré des poissons et bien d'autres espèces. En provenance de l'Atlantique, les grands dauphins ont rapidement suivi. © Quintanarroense82, Wikimedia Commons, domaine public

Via le détroit de Gibraltar, les grands dauphins ont investi la Grande Bleue, il y a seulement 18.000 ans, date à laquelle la mer est devenue pour eux un habitat favorable. De nos jours, les populations de ces cétacés continuent d'évoluer au sein de cet écosystème marin. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (24/02/2015).

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