Rédactrice

Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Vivant dans les eaux arctiques, la baleine boréale est un cétacé mesurant jusqu’à 20 mètres pour un poids d’une centaine de tonnes. © Olga Shpak, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

La particularité de certains gènes des baleines boréales pourrait expliquer l’exceptionnelle longévité de ces mammifères marins. Cette découverte permet aussi de mieux cerner leur résistance naturelle aux maladies liées au vieillissement et au cancer. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (11/01/2015).

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Megaladapis edwardsi est l'une des trois à six espèces de ce genre de lémurien, disparu de Madagascar à l'arrivée des colons européens il y a 500 ans. Il ne ressemblait à aucun autre primate herbivore arboricole et n'a pu survivre à la déforestation et à la chasse. © FunkMonk (Michael B. H.), Wikimedia, CC by-sa 3.0
Megaladapis edwardsi est l'une des trois à six espèces de ce genre de lémurien, disparu de Madagascar à l'arrivée des colons européens il y a 500 ans. Il ne ressemblait à aucun autre primate herbivore arboricole et n'a pu survivre à la déforestation et à la chasse. © FunkMonk (Michael B. H.), Wikimedia, CC by-sa 3.0

Sept milliards d'êtres humains sur Terre : notre population se porte bien. Ce n'est pas le cas de nombreuses autres populations de vertébrés dans le monde : la moitié a chuté en quarante ans, essentiellement dans les milieux d'eau douce et dans les régions subtropicales. Plusieurs espèces animales mais aussi végétales disparaissent chaque année. Certaines ne sont plus là depuis des décennies alors que l'Homme consomme l'équivalent d'une planète et demie pour répondre aux besoins de ses activités. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/01/2015).

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Certains reptiles marins, comme le pélamide bicolore, peuvent passer jusqu'à 95 % de leur vie sous l'eau. Pour s'alimenter ? Non. Pour des raisons stratégiques : la forme en « S » de leur plongée, avec des phases de montée progressive, révèle une subtile exploitation de la colonne d'eau à diverses fins physiologiques et écologiques. Les moyens modernes d'investigation ont percé ces secrets reptiliens...
Mesurant parfois plus de 110 cm, les pélamides bicolores (Pelamis platurus) sont mal adaptés à la vie terrestre et sont relativement impuissants lorsqu'ils s'échouent. Grands apnéistes, ils sont en revanche capables de respiration cutanée, c'est-à-dire de récupérer l'oxygène de l'eau et d'y libérer du dioxyde de carbone. © Aloaiza, Wikimedia Commons, cc byb sa 3.0

Certains reptiles marins, comme le pélamide bicolore, peuvent passer jusqu'à 95 % de leur vie sous l'eau. Pour s'alimenter ? Non. Pour des raisons stratégiques : la forme en « S » de leur plongée, avec des phases de montée progressive, révèle une subtile exploitation de la colonne d'eau à diverses fins physiologiques et écologiques. Les moyens modernes d'investigation ont percé ces secrets reptiliens. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (09/12/2014).

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Parmi 450 espèces d’anophèles sur la planète, une douzaine seulement sont responsables des transmissions humaines du paludisme. © CDC, Jim Gathany, domaine public
Parmi 450 espèces d’anophèles sur la planète, une douzaine seulement sont responsables des transmissions humaines du paludisme. © CDC, Jim Gathany, domaine public

Seize espèces de moustiques anophèles, dont certains sont vecteurs du paludisme, ont vu leur génome séquencé, après dix ans de recherche pluridisciplinaire et internationale. Les premières analyses comparatives révèlent des particularités génétiques fortes et une plasticité importante. Des données qui permettront de mieux appréhender l'agent infectieux. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (07/12/2014).

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Si deux volontaires bien portants ont développé une fièvre d'un jour après avoir reçu une dose d'un vaccin expérimental contre le virus Ebola (que l'on voit ici), aucune des autres personnes bénévoles pour cet essai clinique n'a présenté d'effets indésirables graves. © CDC/Dr. Frederick A. Murphy, Wikimedia Commons, domaine public
Si deux volontaires bien portants ont développé une fièvre d'un jour après avoir reçu une dose d'un vaccin expérimental contre le virus Ebola (que l'on voit ici), aucune des autres personnes bénévoles pour cet essai clinique n'a présenté d'effets indésirables graves. © CDC/Dr. Frederick A. Murphy, Wikimedia Commons, domaine public

Vingt adultes en bonne santé ont reçu un vaccin expérimental contre le virus Ebola dans le cadre d'un essai clinique de phase 1. La cohorte a bien toléré l'injection et, autre bonne nouvelle, son système immunitaire a réagi favorablement. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (03/12/2014).

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Les oiseaux vivant à la cime des arbres tropicaux, en Amazonie, comme cet Ara ararauna, accumuleraient moins de nouvelles espèces au cours du temps que ceux vivant dans le sous-bois. © Stopshutter, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Les oiseaux vivant à la cime des arbres tropicaux, en Amazonie, comme cet Ara ararauna, accumuleraient moins de nouvelles espèces au cours du temps que ceux vivant dans le sous-bois. © Stopshutter, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

L’émergence de nouvelles espèces animales ne résulterait pas uniquement de changements géographiques, comme la formation d’une montagne qui isolerait des populations les unes des autres et les ferait diverger avec le temps. La spéciation se poursuivrait bien au-delà, durant des périodes de stabilité. Du moins si l'environnement n'est pas trop perturbé. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (27/11/2014).

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Les chercheurs estiment que, pour survivre sur le plateau tibétain à 3.400 m d'altitude, hommes, plantes et animaux ont dû s'adapter physiologiquement. © Antoine Taveneaux, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Les chercheurs estiment que, pour survivre sur le plateau tibétain à 3.400 m d'altitude, hommes, plantes et animaux ont dû s'adapter physiologiquement. © Antoine Taveneaux, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Sur le plateau tibétain, d'anciennes populations humaines ont survécu à des altitudes inégalées. Leur secret : des stratégies agropastorales adaptées aux rudes conditions climatiques. De telles techniques pourraient inspirer l’agriculture moderne pour une meilleure sécurité alimentaire. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (25/11/2014).

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Dans certaines populations animales, comme ici chez le babouin chacma, le plus grand risque couru par les petits en bas âge ne vient pas des prédateurs ni des maladies, mais des mâles de leur propre espèce, capables de les tuer pour garantir leur propre lignée. Ce comportement est responsable jusqu'à 70% de la mortalité infantile. © Tom Adams, domaine public
Dans certaines populations animales, comme ici chez le babouin chacma, le plus grand risque couru par les petits en bas âge ne vient pas des prédateurs ni des maladies, mais des mâles de leur propre espèce, capables de les tuer pour garantir leur propre lignée. Ce comportement est responsable jusqu'à 70% de la mortalité infantile. © Tom Adams, domaine public

Un infanticide a lieu chez certaines espèces de mammifères lorsqu'un mâle prend la tête d'un groupe composé essentiellement de femelles. En tuant les petits, le nouveau dominant accélère le retour à l'état reproductif des femelles et s'assure ainsi une descendance issue de ses gènes. Pour protéger leur progéniture, les femelles développent des stratégies payantes. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/11/2014).

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On appelle fantôme une apparition, une vision ou une illusion interprétée comme la manifestation surnaturelle d'une personne décédée. Les fantômes sont également appelés revenants, spectres, poltergeist pour « esprit frappeur » ou, plus rarement, ombres. © Le buveur d'absinthe (1901) par Viktor Oliva
On appelle fantôme une apparition, une vision ou une illusion interprétée comme la manifestation surnaturelle d'une personne décédée. Les fantômes sont également appelés revenants, spectres, poltergeist pour « esprit frappeur » ou, plus rarement, ombres. © Le buveur d'absinthe (1901) par Viktor Oliva

La sensation d’une présence invisible a été reproduite dans le cadre d’une expérience scientifique. Cette impression émanerait d’une altération des signaux cérébraux dits sensimoteurs. Cette meilleure compréhension du phénomène ouvre des pistes de soin aux patients atteints de troubles neurologiques ou psychiatriques et souffrants de ce genre d’expérience. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (15/11/2014).

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Un échantillon de la mégafaune vivant sur des mottes d'hydrocarbure (échelle blanche : 10 cm) : (A) Saccocalyx pedunculata, (B) une possible éponge Hexactinella sp., (C) une éponge rossellidée, (D) Farrea sp., (E) Anthomastus sp. et Psychrolutes macrocephalus, (F) une éponge jaune Paramuricea sp., (G) Actinernus michaelsarsi, (H) et (K) des brisingidées, (I) une ophiure sous l'asphalte, (J) un individu échinoïde. © Jones et al., Deep Sea Research Part I: Oceanographic Research Papers
Un échantillon de la mégafaune vivant sur des mottes d'hydrocarbure (échelle blanche : 10 cm) : (A) Saccocalyx pedunculata, (B) une possible éponge Hexactinella sp., (C) une éponge rossellidée, (D) Farrea sp., (E) Anthomastus sp. et Psychrolutes macrocephalus, (F) une éponge jaune Paramuricea sp., (G) Actinernus michaelsarsi, (H) et (K) des brisingidées, (I) une ophiure sous l'asphalte, (J) un individu échinoïde. © Jones et al., Deep Sea Research Part I: Oceanographic Research Papers

En Atlantique, des dizaines d’espèces animales sous-marines ont été découvertes vivant sur des mottes d’asphalte formées à la suite de rejets naturels de pétrole. Cette richesse nous en dit plus sur ces écosystèmes particuliers. De quoi guider les politiques environnementales en matière d’exploitations pétrolières offshore. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/11/2014).

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