Archives de l'auteur : Andréa Haug

Les hippopotames (photo) ont eu pour cousin Epirigenys lokonensis, un mammifère 20 fois plus petit, de la taille d’un mouton d’environ 100 kg et qui devait passer également beaucoup de temps dans l’eau. © Cloudzilla, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0
Les hippopotames (photo) ont eu pour cousin Epirigenys lokonensis, un mammifère 20 fois plus petit, de la taille d’un mouton d’environ 100 kg et qui devait passer également beaucoup de temps dans l’eau. © Cloudzilla, Wikimedia Commons, cc by sa 2.0

Une espèce fossile d’ongulés découverte en Afrique se révèle être le chaînon manquant pour affilier les hippopotames et les cétacés. Successivement pensé proche des chevaux, des vaches ou encore des sangliers, l’animal emblématique des rivières africaines serait finalement plus proche du dauphin. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (01/03/2015).

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Une tempête de sable partie de la dépression du Bodélé (en haut à droite). Le lac Tchad est visible en bas à gauche. © Nasa, Wikimedia Commons, domaine public
Une tempête de sable partie de la dépression du Bodélé (en haut à droite). Le lac Tchad est visible en bas à gauche. © Nasa, Wikimedia Commons, domaine public

Malgré les milliers de kilomètres qui les séparent, le désert du Sahara et la forêt amazonienne sont liés : chaque année, un cycle naturel transporte du continent africain au continent sud-américain des millions de tonnes de sable. Un apport dont a besoin la plus grande forêt équatoriale du monde pour s'épanouir. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (27/02/2015).

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Après la dernière fonte glaciaire, la Méditerranée, moins salée, a attiré des poissons et bien d'autres espèces. En provenance de l'Atlantique, les grands dauphins ont rapidement suivi. © Quintanarroense82, Wikimedia Commons, domaine public
Après la dernière fonte glaciaire, la Méditerranée, moins salée, a attiré des poissons et bien d'autres espèces. En provenance de l'Atlantique, les grands dauphins ont rapidement suivi. © Quintanarroense82, Wikimedia Commons, domaine public

Via le détroit de Gibraltar, les grands dauphins ont investi la Grande Bleue, il y a seulement 18.000 ans, date à laquelle la mer est devenue pour eux un habitat favorable. De nos jours, les populations de ces cétacés continuent d'évoluer au sein de cet écosystème marin. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (24/02/2015).

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Issu d'une fougère Gymnocarpium (à gauche) et d'une fougère Cystopteris (à droite), l'hybride vert pâle « × Cystocarpium roskamianum » est stérile, mais se reproduit par voie végétative et se cultive bien en pépinière. © Jeffdelonge, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0 et Kenzaiz, Wikimedia Commons, domaine public
Issu d'une fougère Gymnocarpium (à gauche) et d'une fougère Cystopteris (à droite), l'hybride vert pâle « × Cystocarpium roskamianum » est stérile, mais se reproduit par voie végétative et se cultive bien en pépinière. © Jeffdelonge, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0 et Kenzaiz, Wikimedia Commons, domaine public

Soixante millions d'années d'évolution séparent ces deux espèces de fougères des montagnes pyrénéennes. Et pourtant, elles se sont hybridées et ont donné naissance à une descendance viable. Un peu comme si un éléphant et un lamantin faisaient des petits ensemble. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (19/02/2015).

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Au lieu de mourir, la méduse Turritopsis nutricula rajeunit en polype. ©muzina shanghai, Flickr CC by-nc-sa 2.0
Au lieu de mourir, la méduse Turritopsis nutricula rajeunit en polype. ©muzina shanghai, Flickr CC by-nc-sa 2.0

Si l'Homme affiche d'impressionnants records de longévité dépassant le siècle, certains animaux marins n'ont rien à lui envier. Souvent nocturnes et de croissance lente, ils vivent parfois dans les profondeurs marines, ce qui accentue leur part de mystère. Ces espèces vivent des dizaines, des centaines d'années, voire davantage. Pourtant, beaucoup d'entre elles s'avèrent influencées et parfois menacées par le réchauffement climatique, la surpêche et la pollution de leur milieu. Voici un échantillon de ces êtres surprenant de vitalité. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (18/02/2015).

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Malgré les apparences, la Tamise s'avère polluée par les rejets des eaux usées, mais aussi par des déchets plastiques parfois de très petite taille. En plus de représenter un risque sanitaire pour l'Homme, ces pollutions impactent la faune et la flore du cours d'eau et de la mer du Nord où se jette la rivière. © David, Iliff, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Malgré les apparences, la Tamise s'avère polluée par les rejets des eaux usées, mais aussi par des déchets plastiques parfois de très petite taille. En plus de représenter un risque sanitaire pour l'Homme, ces pollutions impactent la faune et la flore du cours d'eau et de la mer du Nord où se jette la rivière. © David, Iliff, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0

Des chercheurs britanniques ont cartographié, grâce à un modèle, la répartition de la résistance aux antibiotiques dans les rivières. Selon eux, elle apparaîtrait facilement dans les cours d'eau et particulièrement près des stations d'épuration. D'autres facteurs, comme le type de paysage et les précipitations, impacteraient leur distribution. Ce modèle pourrait donc servir dans la gestion de ce problème sanitaire et environnemental. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (22/02/2015).

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Membres de la famille des hominidés et de l'ordre des primates, les chimpanzés forment un genre de grands singes apparentés à l'espèce humaine avec laquelle ils partagent 99,6 % de patrimoine génétique. © Thomas Lersch, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0
Membres de la famille des hominidés et de l'ordre des primates, les chimpanzés forment un genre de grands singes apparentés à l'espèce humaine avec laquelle ils partagent 99,6 % de patrimoine génétique. © Thomas Lersch, Wikimedia Commons, CC by-sa 3.0

Exposés à une culture sociale différente, les chimpanzés pourraient choisir de changer la structure de leurs appels afin de se conformer socialement. Une aptitude qui semblait jusqu'à présent réservée à l'espèce humaine. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (13/02/2015).

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Certaines guêpes arrivent à distinguer les membres ne faisant pas partie de leur espèce. D'autres vont plus loin et identifient les intrus qui se seraient trompés de nid. © Arturo, Flickr CC by nc sa 2.0
Certaines guêpes arrivent à distinguer les membres ne faisant pas partie de leur espèce. D'autres vont plus loin et identifient les intrus qui se seraient trompés de nid. © Arturo, Flickr CC by nc sa 2.0

S'ils sont capables de distinguer les ennemis des membres de leur nid à leur odeur, des guêpes d'Asie du Sud-Est peuvent également recourir à leur vue. Suivant les situations, ils privilégient un sens sur l'autre pour repousser au mieux les indésirables. D'extraordinaires capacités sensorielles et comportementales pour un animal pourvu d'un si petit cerveau. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (10/02/2015).

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Témoignage du Festival de Chaillol d'actions pour améliorer la restauration du staff et des artistes dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.

Réalisation : Andréa Haug - Production : Arcade Paca/Plateforme aér - 2,12 minutes - 2014

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Elysia chlorotica vit en eaux peu profondes sur le littoral états-unien, entre la Nouvelle-Écosse et la Floride. Il mesure de 2 à 3 cm en moyenne. Sa morphologie lui permet de déployer plus ou moins ses flancs en fonction du rayonnement solaire. Son tube digestif ramifié rappelle les nervures d'une feuille. © Patrick Krug
Elysia chlorotica vit en eaux peu profondes sur le littoral états-unien, entre la Nouvelle-Écosse et la Floride. Il mesure de 2 à 3 cm en moyenne. Sa morphologie lui permet de déployer plus ou moins ses flancs en fonction du rayonnement solaire. Son tube digestif ramifié rappelle les nervures d'une feuille. © Patrick Krug

L'élysie émeraude peut survivre des mois sans se nourrir. Les scientifiques savent désormais comment : le mollusque marin fabrique sa propre nourriture grâce à la photosynthèse. Telle une plante, il incorpore dans ses cellules des chloroplastes et certains gènes d'une algue. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (06/02/2015).

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