Société

10 % des malades sont en Afrique, 72 % en Asie du Sud-Est, 15 % dans la région des Amériques, 2 % dans le Pacifique occidental et 1 % en Méditerranée orientale (OMS, 2014).

En régression dans le monde depuis les années 2000, la lèpre, maladie inféodée à l'Homme depuis l'Antiquité, stagne depuis dix ans. L'Afrique, troisième continent le plus concerné après l'Asie du Sud-Est et l'Amérique, affiche même une augmentation annuelle des nouveaux cas depuis 2012. À l'approche de la 62e Journée mondiale des lépreux, dimanche 25 janvier 2015, voici un point sur la pathologie. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Jeuneafrique.com (23/01/2015).

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Témoignage du Festival international d’art lyrique d’Aix-en-Provence d'actions en faveur de la réduction des déchets dans le cadre de son événement. Vidéo pour le compte de la plateforme d'accompagnement des festivals éco-responsables.

Réalisation : Andréa Haug - Production : Arcade Paca/Plateforme aér - 2,28 minutes - 2014

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La station de ski d'Autrans (Vercors) a ouvert le premier « Forum de la Transition » de Mountain Riders, en décembre dernier, et s'est à nouveau retrouvé fin janvier pour approfondir des actions concrètes. © Mountain Riders
La station de ski d'Autrans (Vercors) a ouvert le premier « Forum de la Transition » de Mountain Riders, en décembre dernier, et s'est à nouveau retrouvé fin janvier pour approfondir des actions concrètes. © Mountain Riders

Lisez mon reportage sur les actions de Mountain Riders en faveur de la transition écologique dans les stations alpines de sports d'hiver.

Disponible en kiosque et en magasins bio :
"Pour des stations de ski plus écologiques"
Provence Durable - n°2 - hiver 2015

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Présents aussi dans les feuilles de thé et certains fruits et légumes, les flavanols des fèves de cacao (ici au centre de la cabosse) sont déjà reconnus pour augmenter les performances du cerveau. Ils stimuleraient aussi la mémoire et seraient bons pour le cœur. © Keith Weller, USDA ARS-dp, Wikimedia Commons
Présents aussi dans les feuilles de thé et certains fruits et légumes, les flavanols des fèves de cacao (ici au centre de la cabosse) sont déjà reconnus pour augmenter les performances du cerveau. Ils stimuleraient aussi la mémoire et seraient bons pour le cœur. © Keith Weller, USDA ARS-dp, Wikimedia Commons

Chez l’Homme, l’altération de la mémoire liée au vieillissement naturel serait causée par des changements dans une région spécifique du cerveau. Cette forme de déclin cognitif pourrait être enrayée par une intervention diététique à base de cacao. (...)

Cliquez pour lire cet article rédigé par Andréa Haug pour Futura Sciences (30/10/2014).

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© Thomas W. Geisbert, Boston University School of Medicine, Wikimedia Commons, cc by sa 2.5
Le virus Ebola au microscope électronique © Thomas W. Geisbert, Boston University School of Medicine, Wikimedia Commons, cc by sa 2.5

Il n’y a pas un, mais six virus Ebola à ce jour. Évolutive, la classification du virus distingue en effet six espèces suivant leur localisation initiale : Ebola Zaïre (virus identifié en 1976 dans la future RD Congo), Ebola Soudan (reconnu en 1979 au Soudan et en Ouganda), Ebola Reston (déterminé pour la première fois en 1983 à Reston, aux États- Unis), Ebola Forêt de Taï (ou Ebola Côte d’Ivoire, découvert en 1994, également en Guinée et au Liberia) et Ebola Bundibugyo (2008, issu d’une région ougandaise). La dernière souche virale confirmée est Ebola Guinée, qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest.

Leur sévérité pathologique varie : alors que la létalité d’Ebola Zaïre est théoriquement de 90 %, celle d’Ebola Soudan est moindre et celle d’Ebola Reston quasi nulle. Le taux de mortalité serait corrélé à la variabilité génétique des virus, de 30 % à 40% d’une souche à l’autre. Ainsi, Ebola Bundibugyo s’apparente davantage à Ebola Forêt de Taï, mais s’avère plus virulent que ce dernier.

La propagation interhumaine se réalise par le contact de sang, de selles et de liquides biologiques infectés ou de surfaces et matériaux souillés. Si les épidémies d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale ne sont pas liées – la souche congolaise étant génétiquement proche à 99,2 % d’Ebola Zaïre –, l’émergence de la maladie s’accélère pour autant. Connaître les modes de propagation du virus dans son réservoir naturel et de transmission entre espèces différentes serait ainsi salutaire dans la prévention et le contrôle d’Ebola.

Article à retrouver dans Jeune Afrique (numéro double 2807-2808 - du 26 octobre au 8 novembre 2014).

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